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Illustration intitulée "tw_adaptation_cover10" - UN.org / COP27
S'ouvrait ce Lundi 8 Novembre, la dernière COP.
De son numéro 27, se cache de nombreuses tentatives des United Nations (UN) de faire parler et d’accorder des hommes irréconciliables.
Qui, rappelons-le, ont pour but principal de conserver une, forme, de continuité.
La continuité de leur politique, de leur mandature, de leur pouvoir, de leur puissance.
Et il paraît évident, de fait, la continuité des Énergies Fossiles et de notre système de prédation.
Notre COP se déroule en Égypte, baigné dans une urgence ambiante.
Que l’on ne saurait évaluer à sa juste importance, même si les messages et discours successifs vont dans ce sens.
C’est léger je vous l'accorde.
Que l’on ne saurait évaluer à sa juste importance, même si les messages et discours successifs vont dans en ce sens. C’est léger.
Suffit de tendre l’oreille au discord d’un “former US vice-president” (sous Bill) :
The former US vice-president, a long-time environmental campaigner who was among the first to raise the alarm about climate change, told leaders at this year's United Nations climate summit in Egypt that they should turn away from destructive behavior, insisting that 'we have other choices' in the form of renewable energy. — The Guardian / Youtube
[…]
the culture of death that surrounds our addiction to fossil fuels
[…]
Faudrait-il en déduire, une Mort lente ?
Aussi, comme à chaque COP,
est mené le bilan des Actions, depuis la dernier fois,
ce qui as changé et ceux qui n’ont pas, changé.
Sous un air de “qui a la plus grosse”,
ils s’évertuent à grossir leurs chiffres. De réduction de GES bien-sûr.
Quand ce n’est pas des pourcentages évasifs, provenant de chiffres douteux, on oublie délibérément de comptabiliser les importations diverses de ces Nations.
Point positif en revanche,
c'est également le moyen de suivre la - douce - critique d’un système. Devinez lequel.
Nous pouvons apprécier de voir émerger lors de ces COPs, un autre discours.
Certaines Nations, petite certes, remettent en cause le système, des pays du nord. Un regard critique.
Devant les défis qui nous font, collectivement, face et qui définirons l’habitabilité de notre planète,
pour les générations présentes et futures,
il me paraît important de porter une attention particulière les autres Nations,
pour ce pencher vers d’autres intêrets que ceux de nos voisins (ou cousins, même chose).
Évitons l'entresoi.
Cette critique, qui s’élance, c’est celle de notre mode de vie tout entier.
Écoutons ce que ces peuples ont à nous dire. Nous apprendrons, au détour, à vivre avec moins.
Cela coûtera moins cher, que de payer la facture d’un monde pris d’hémorragies sévérent.
Puisque c’est la seul chose que vous êtes capable de faire.
Bilan ? Sortez les chéquiers!